L’établissement subit un sous-financement qui ne permet plus aujourd’hui de payer les cotisations patronales envers l’URSSAF. Cette situation se conjugue avec l’annonce par la direction des nouvelles orientations pour l’établissement ordonnées par l’Agence Régionale de Santé : remise en cause des services de chirurgie et de la gynécologie-obstétrique.
L’étranglement financier a conduit à ce que les directions successives ont déjà largement fait payer le personnel : suppression de 5 RTT et du temps de repas
pour le personnel soignant, effectif minimum de sécurité tout le long de l’année, modifications de planning récurrentes… la coupe est pleine !... La CGT réaffirme que ce projet est inadmissible pour les patients et leurs familles et inacceptable pour le personnel.
Une vaste campagne de mobilisation est organisée, affiche et pétition ont été lancées. C’est un vrai succès et le débat d’idée progresse car les propositions CGT sont portées dans les services, devant l’hôpital, sur les marchés, les grandes surfaces. Plus de 17 200 signatures ont été récoltées et une journée d’action est organisée le 19 septembre en direction de l’ARS.
A suivre !