Si la mobilité interne est encadrée par des textes ministériels, depuis la publication des postes au Journal Officiel jusqu’aux décisions des autorités de nomination, elle n’en soulève pas moins de grandes insatisfactions nourries en grande partie depuis 7 ans par les Lois BACHELOT et TOURAINE.
En livrant une panoplie d’outils de restructuration lourde et à marche forcée des services sanitaires, sociaux et médico-sociaux, ces lois sont à l’origine d’un nouveau management de type caporalisé.
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