ll y a eu d’abord, la séquence calamiteuse du congé pour le deuil d’un enfant. Nous pensions alors que les « amateurs », ne commettraient pas de sitôt une telle faute. Qu’ils sauraient s’instruire d’une vie qui n’épargne pas ceux qui sont dans le réel. Une erreur n’est jamais inutile quand elle sert l’apprentissage, surtout quand il est question d’humanité...
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