La transposition de l’état d’urgence et son inscription dans le droit commun à venir est une catastrophe en termes de libertés publiques et un véritable danger pour le secteur social.
La CGT se questionne sur les risques de dérives sécuritaires et leur impact sur l’action sociale, tout comme sur le respect des droits de l’homme...
Voir suite communiqué ci-joint.