Près de 1500 agents se sont rassemblés en cortège dans les rues de la capitale, exprimant ainsi leur détermination à ne pas accepter l’inacceptable.
Pour l’USAP CGT, seules sont possibles de réelles, sincères et nouvelles discussions sur l’organisation du travail déconnectées de toute idée de remise en cause des 35H, ce qui, à minima, implique un moratoire ou le retrait total de son projet.
Mireille STIVALA, secrétaire générale de la fédération, présente à la manifestation aux côtés des camarades en lutte, est intervenue à la demande de l’intersyndicale pour que puisse être trouvé un nouvel interlocuteur dans les discussions. L’intersyndicale demande que soit nommé, par le Président de la République, un médiateur qui puisse débloquer la situation.
Pas une seule minute de nos heures de travail ne devra être sacrifiée sur l’hôtel de la rentabilité, le processus de lutte continu.