Après avoir été relaxée par le Tribunal correctionnel de Toulouse le 21 novembre 2017 - une première en France pour une lanceuse d’alerte - une décision mi-figue mi-raisin du Conseil des prud’hommes d’Auch le 18 avril 2019, l’appel de cette décision par l’avocate de notre camarade (Maitre Alma BASIC) le 31 mai dernier, le marathon judiciaire se poursuit.
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